"Mon pied droit est jaloux de mon pied gauche.
Quand l'un avance, l'autre veut le dépasser.
Et moi, comme un imbécile, je marche"
(Raymond Devos)
est parfaitement incohérent. Dénominateur commun, il intervient ici et là-bas sur le motif allumé des trottoirs de la ville. Dans le quotidien tourbillonnant, il se rince l’œil, agit(e) seul ou en groupe, sous influences, et reçoit sans façon.
"Mon pied droit est jaloux de mon pied gauche.
Quand l'un avance, l'autre veut le dépasser.
Et moi, comme un imbécile, je marche"
(Raymond Devos)
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